mercredi 22 juillet 2009

Saluons la générosité


Même quand le monde autour de vous semble se replier dans l'individualisme, la course au profit personnel, ou la mesquinerie, il y a toujours de bonne surprises qui vous consolident dans votre confiance en la générosité qui peut surgir sans crier gare.

Voici quelques semaines, j'ai reçu un courrier électronique plutôt surprenant : un auteur de romans ancrés dans la Venise du Settecento, tombé dans les salons de Monsieur de C. en cherchant des informations sur Casanova, avait été si content de cette découverte qu'il voulait m'envoyer un exemplaire de son dernier opus.

Me départissant de la paranoïa qui m'étreint généralement quant un inconnu croisé sur le net me demande directement qui je suis et où j'habite, j'ai accepté de me dévoiler. Et, plus tard qu'avant hier, j'ai reçu par courrier postal un exemplaire (dédicacé, qui plus est !) de La nuit de San Marco, roman policier signé du pseudonyme de Loredan (éditions Fayard, 2009, 978-2213643441).

Je viens d'en entamer la lecture, et les premiers chapitres sont fort plaisants. D'ici peu de temps, je reviendrai donc ici prendre la plume pour vous en dire plus sur ce roman. Comme j'en avais prévenu le généreux auteur en acceptant son offre, une telle générosité ne saurait transformer un éventuel coup de gueule en coup de cœur ; c'est donc en toute sincérité que je rédigerai mon billet.

Mais, en attendant, je tire mon tricorne au généreux Loredan !

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Le retour de la marquise pas exquise


Il y a un peu plus de deux ans, j'écrivais un billet pas très tendre sur le teléfilm de Robin Davis, Jeannine Poisson, Marquise de Pompadour.



Je ne compte pas en regarder la rediffusion ce soir, mais si certains d'entre vous veulent se faire leur propre opinion (et même venir contredire mon avis par la suite), il leur reste à se brancher sur France 2, ce soir à 20h35.

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Le salon ouvre à nouveau ses portes


Voilà plusieurs semaines que mes pas m'avaient éloigné du salon de Monsieur de C. (et de salons voisins). Non par lassitude, mais du fait d'autres occupations chronophages.

Me voici désormais de retour, avec dans ma musette de colporteur des nouveautés et des vieilleries, dont je ferai étalage sans vergogne, à mon habitude.

Je vous remercie de la patience dont vous avez fait preuve.

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